Qui es-tu et que fais-tu dans ton alternance ?
Moi c’est Océane, j’ai 24 ans, bientôt 25 ! Je suis chargée de recrutement pour l’entreprise Courtepaille et je suis en MRH2 sur le campus d’Evry, Mastère que j’espère obtenir à la fin de l’année. Dans mon entreprise d’accueil, je gère les recrutements pour les exploitations : je m’occupe de recruter des postes d’encadrants (assistants manager, adjoints à la direction et directeurs de restaurant).
Quelles sont tes activités au quotidien ?
En ce moment, l’activité est très réduite pour ma part : je suis en chômage partiel les lundis et mercredis. Sinon, ma journée type en télétravail est la suivante : je pointe, j’échange avec mes collègues, je vérifie ma boite mail pour me tenir informée de l’actualité puis je fais le point des choses faites et à faire avec mon collègue. Ensuite, ma journée est centrée sur la réalisation des entretiens téléphoniques, 1ère étape du processus de recrutement. Chaque appel dure entre 10 et 15 min. Au cours d’une même journée, je peux faire jusqu’à 10-15 appels et parfois, je fais des journées avec 8 candidats favorables, ce qui débouche sur un travail de suivi.
Raconte nous ton parcours !
Je suis originaire de la région Centre, j’ai fait mes 2 premières années d’alternance en BTS MUC (Management des Unités Commerciales) à Bourges. Ensuite j’ai souhaité changer de région et me diriger vers les RH. Je voulais faire une licence mais je n’ai pas trouvé d’alternance donc j’ai passé une année à travailler en tant que conseillère d’éducation dans un lycée. C’était enrichissant, surtout pour les relations humaines. Puis en cherchant une nouvelle école, j’ai découvert Ascencia Business School ! J’ai été acceptée et je fais maintenant mon cursus au sein d’Ascencia. Les équipes m’ont beaucoup aidées, notamment M. Koumako, dans ma recherche d’alternance et je les en remercie tous énormément.
Que préfères-tu chez Ascencia ?
Si je devais mettre en avant quelque chose, je dirais la grande diversité des unités d’encadrements. Il n’y a pas que des matières RH, on développe aussi des compétences transversales très intéressantes et cela me plaît beaucoup ! Il y a aussi le côté international que l’école propose que je trouve vraiment intéressant ! Malheureusement je n’ai pas pu en profiter car mes finances ne me le permettaient pas, mais c’est vraiment une très belle opportunité que j’aurais aimé accomplir (un programme d’échange international ou même la Learning Expedition à Bangalore). Enfin, les équipes qui sont très impliquées pour nous aider.
Quel serait ton job de rêve ?
Je ne sais pas si on peut appeler cela un job de rêve mais j’aimerais à l’avenir ouvrir une entreprise. J’aimerais un job où je pourrais m’épanouir professionnellement, humainement et où je pourrais apporter quelque chose aux collaborateurs de mon équipe. Pour l’instant, je suis encore dans la découverte en termes de secteur d’activité. Aujourd’hui, je suis très intéressée par tout ce qui rapporte aux relations écoles, la dimension à la fois entreprise mais aussi la relation avec les étudiants dans leurs cursus professionnels. Sinon l’aéronautique et l’hôtellerie-restauration sont aussi des secteurs qui me plaisent beaucoup actuellement… je reste assez ouverte sur cette question.
Quelles sont tes passions dans la vie ?
J’aime passer du temps avec ma famille et mes amis, c’est très important pour moi ! Je me suis mise au sport, c’est quelque chose qui m’a permis de m’évader. De base je suis sportive, je fais du karaté, donc le sport c’est quelque chose d’important mais malheureusement j’avais arrêté depuis quelques années. J’aime aussi sortir, aller au restaurant, boire un verre en terrasse, me promener et voyager ! J’ai hâte que l’on puisse voyager à nouveau ! J’adore découvrir de nouvelles cultures, de nouveaux pays… Je suis partie en Indonésie, au Venezuela, aux Iles Canaries, en Tunisie, en Espagne et en Grèce ! Bali c’était exceptionnel : les habitants sont très gentils, la culture est totalement différente et les paysages sont magnifiques.
Une pensée positive sur la situation actuelle de la COVID-19 ?
La COVID m’a montrée qu’il fallait absolument rester motivé. Sans motivation, l’exclusion sociale est très difficile à gérer. Je manquais de motivation en début de l’année, j’écoutais les cours sans vraiment les retenir, je n’arrivais pas à démarrer mon mémoire. Je n’arrivais plus à donner du sens à ce que je faisais. Puis, je me suis dit que c’était la dernière ligne droite, qu’il fallait prendre la COVID comme une expérience de plus. Donc je me suis recentrée et j’ai essayé de voir cela de manière plus « positive ». Le sport que je faisais dehors, je l’ai déplacé en intérieur. J’ai essayé de moins flâner devant la télé pour avancer sur mes projets futurs… Ne pas céder à la démotivation, c’est le plus dur. Je suis suppléante déléguée de la promo, cela nous touche tous : j’essaye donc de véhiculer de l’énergie à mes camarades et de les soutenir comme je peux.
Un grand merci pour cette interview ! Un dernier mot à ajouter ?
C’est plus difficile comme exercice que lorsque tu me poses une question précise ! Je dirais, « Croyez en vous ! », il faut toujours croire en soi, malgré le fait que des personnes autour de nous diront qu’on n’arrivera pas à notre but. L’essentiel c’est de croire en nous et de toujours faire ce que l’on a réellement envie de faire !
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