Bonjour Kilian, merci d’avoir accepté cette interview ! Peux-tu te présenter ?
Je m’appelle Kilian Meanard, je suis en 3ème année Responsable du Développement et du Pilotage Commercial, option Marketing-Communication au sein d’Ascencia Business School et je suis en alternance, depuis septembre, en tant qu’Assistant Manager pour l’entreprise Boulanger.
Comment se passe ton alternance et que fais-tu exactement ?
Mon alternance se passe bien : j’ai eu une excellente intégration et j’apprends énormément de choses, que ce soit dans le merchandising ou dans la mise en place d’offres commerciales. L’ambiance dans le magasin est top, je m’y plais vraiment. Au quotidien, dans le magasin, j’installais des PLV (publicités sur le lieu de vente) / des ILV (informations sur le lieu de vente) pour les prix, je conseille les clients qui arrivent, je modifie des rayons en fonction du calendrier… Par exemple, pour l’Euro 2020 de cet été, nous sommes en train de voir avec Sony pour faire des animations en lien avec le foot.
Peux-tu nous raconter ton parcours ?
J’ai eu mon bac ES en 2017. A la suite de ce dernier, j’ai voulu intégrer la filière STAPS mais je n’ai pas été sélectionné à cause du tirage au sort d’APB. J’ai donc travaillé pour Big Fernand pendant un an en tant que serveur. Après cette année, j’ai rejoint Ascencia Business School en 1ère année. J’ai fait mon bachelor 1 et 2 au sein d’Ascencia avec une alternance en tant que conseiller de vente pour Castorama. Mes missions étaient de conseiller les clients, de mettre en rayon les produits, de faire l’inventaire, de gérer les commandes ainsi que les stocks, etc. En septembre, je poursuivrai mon Ms1 au sein d’Ascencia Marne-La-Vallée, dans la même filière, en Marketing/Communication. J’accompagnerai ce cursus avec un contrat d’alternance en tant qu’Assistant Responsable Merchandising de la région Île-de-France pour Lidl.
Comment se passe ton parcours au sein d’Ascencia ?
La première année s’est bien déroulée. Je me suis fait de nouveaux amis et les intervenants étaient tous sympathiques. On a appris beaucoup de choses également. La deuxième année était plus compliquée : la première partie se passait bien mais avec l’arrivée du confinement et des cours en distanciel, la situation est devenue plus complexe. Enfin, la 3ème année était vraiment plus complexe. Pas tant au niveau des notes, mais plus au niveau du suivi. Il était bien plus difficile de se concentrer chez soi qu’en classe, donc je dois avouer que j’ai eu plus de difficultés cette année. Heureusement, grâce à mon alternance, je peux être actif et mobile.
Qu’est-ce qui t’a attiré pour entrer au sein d’Ascencia ?
A l’époque, c’était une amie à moi qui était chez Ascencia et qui avait trouvé l’école très bien. J’étais allé visiter une école à Paris auparavant et je n’ai pas du tout aimé l’expérience. Ils n’étaient pas vraiment proches des élèves contrairement à Ascencia, qui l’est davantage. Par exemple, ils m’ont aidé à trouver mon alternance, ce qui était mon plus gros problème. Je ne sais pas si c’est parce que je ne sais pas bien me vendre ou si c’est autre chose, mais malgré cela les conseillers formations d’Ascencia m’ont toujours bien aidé, bien conseillé, pour m’aider à trouver une alternance au plus vite. J’aime me sentir accompagné, cela me met en confiance et après je me sens beaucoup mieux.
Une fois admis, qu’as-tu préfère au sein d’Ascencia ?
J’aime beaucoup le côté école à taille humaine. Tout le monde se connaît et il y a beaucoup de proximité. Les intervenants et l’administration savent qui nous sommes. Par exemple, lorsque j’ai trouvé mon alternance pour la rentrée prochaine et que je suis allé à l’école, ils étaient tous heureux pour moi ! Je pense que c’est rare, dans une école, que l’administration soit aussi heureuse pour vous. J’aime ce lien.
Quel serait le job de tes rêves après tes études ?
C’est un peu compliqué de répondre à cette question. Depuis le début, je suis beaucoup sur le terrain que ce soit pour Castorama ou pour Boulanger. Maintenant, j’aimerais découvrir autre chose. J’aimerais bien évoluer dans le merchandising et le marketing. Ce que je vais faire l’an prochain va me permettre d’apprendre. Jusqu’à maintenant, j’ai appris à bien vendre les produits. A l’avenir, je veux apprendre à faire aimer les produits. Pour l’instant, je me dirige vers cet objectif et si cela me plait, je continuerai d’avancer encore plus vers le côté stratégique du merchandising.
On sait que c’est une situation compliquée en ce moment avec le COVID, mais si tu devais citer quelque chose de positif quant à cette épreuve, ce serait quoi ?
Ce qui est plutôt bien c’est d’avoir réussi à suivre nos cours, alors qu’il n’y a pas si longtemps, on n’aurait pas pu donc c’est déjà une bonne chose ! Sinon, sur ce qu’il en est ressorti… Je dirais que la chose la plus importante à retenir, même si c’est facile à dire j’en conviens, c’est de ne pas lâcher. Il faut croire en ce que l’on veut et il faut s’accrocher : tout donner pour atteindre ses objectifs.
Bientôt de retour, si ce n’est pas cette année, ce sera l’an prochain en tout cas puisque tu continues en Ms 1. Qu’est-ce que tu feras lorsque tu seras de retour sur place ?
En B1/B2 j’avais à peu près la même classe, avec le temps, je me suis formé un groupe d’amis avec qui je m’entendais très bien. J’ai déjà hâte de les retrouver, dans un premier temps ! Et puis, j’ai hâte de retrouver cette ambiance de classe mais aussi de retrouver les intervenants. Je me suis toujours bien entendu avec eux, mais en visioconférence il n’y a pas cette complicité : il manque ce lien.
Plus globalement, qu’aimes-tu faire dans la vie ? As-tu des passions ?
Je suis un grand passionné de foot, depuis que j’ai 4/5 ans je suis supporter de l’Olympique de Marseille. J’ai pu aller 2 fois au Vélodrome (le stade de l’OM), la première fois en 2015, on avait gagné 6-0 et la deuxième fois c’était un cadeau de ma copine, pour un match important contre Lyon en 2019. On avait gagné 2-1 et c’était vraiment génial. Sinon j’aime globalement le sport, le basket notamment. J’aime beaucoup voyager : j’aimerais visiter toutes les capitales européennes. J’ai eu la chance d’aller en Belgique, en Allemagne, en Italie, en Espagne, au Portugal, à Malte et à Chypre. J’adore voyager en Europe car c’est à la fois très proche de nous, mais également très différent. Et enfin, j’ai été aux Etats-Unis également.
On termine cette interview par une petite partie libre : As-tu un dernier mot à dire ? Quelque chose en plus que tu aimerais exprimer ?
Le principal, c’est qu’il ne faut rien lâcher en ce moment, même si c’est dur il faut persévérer, il ne faut pas perdre espoir. J’espère que ce virus va bientôt s’arrêter et que l’on se retrouvera très rapidement.
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